mercredi 26 novembre 2008

CICERON : Les livres de la vieillesse, de l'amitié...



CICERON. Les livres de la vieillesse, de l'amitié, les paradoxes, le songe de Scipion, lettre politique à Quintus. Trad. nouvelle par DE BARRETT. Avec le latin. 6e éd. augm. P : Delalain (sucesseur Barbou & Lallemant), 1809.


Caton l'ancien, ou dialogue sur la vieillesse. A Titus Pomponius Atticus.

« tout âge est un fardeau pour qui n'a aucune ressource en soi-même »
(chp II, 4)

« les vices des mœurs et non de l'âge »
(XVIII, 65)

« il en est des hommes comme du vin : tous ne s'aigrissent pas en vieillissant »


Lélius, ou dialogue sur l'amitié. A Titus Pomponius Atticus.

« ici, ami tendre, je raisonne avec mon ami sur l'amitié »
(I, 5)

Scipion / Lélius

« Qui voit son ami, voit une image de soi-même. »
« L'amitié rapproche les absents, enrichit l'indigence, fortifie la foiblesse, et, ce qui est plus fort, faire revivre les morts dans le respect, le souvenir et les regrets de leurs amis. »
(VII, 23)


Les Paradoxes de Cicéron à Brutus.
Le songe de Scipion. Scipion parle.
Lettre de Cicéron à son frère Quintus.
Quintus Cicéron à Marcus Tullius, son frère. Sur la demande du Consulat.


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