Jean ROSTAND. Pages d'un moraliste.
Paris : Charpentier-Fasquelle, 1952.
« N'avons-nous donc le choix qu'entre les affres de l'anxiété et l'accablement de la solitude ? »
(315)
« Il ne faut ni respecter les vieilles erreurs, ni se lasser des vieilles vérités. »
(363)
« On hésite à être soi parce que demain il faudra mentir. »
(368)
« Le cœur réclame une femme ; les sens, plusieurs ; l'orgueil, toutes. »
(423)
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