vendredi 6 mars 2009

Les incipits : MALLARMÉ, Préface à Vathek.



Qui n'a regretté le manquement à une visée sublime de l'écrit en prose le plus riche et le plus agréable, travesti naguères comme par nous métamorphosé ?


Stéphane MALLARMÉ, Préface à Vathek, 1865.

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