Je me suis allongé sur le sable des grèves / Où l'usure du monde a d'arides douceurs; / C'était l'heure étonne où les astres se lèvent; / Recouvrant leurs longs corps de la nacre des rêves, / J'ai vu venir à moi les Sirènes mes sœurs. ("Les Charités d'Alcippe").
Marguerite YOURCENAR, Les Charités d'Alcippe, 1956, nouvelle édition 1984.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire