Chansons des geishas. Traduites pour la première fois du japonais par STEINILBER-OBERLIN et HIDÉTAKÉ-IWAMURA. Frontispice de FOUJITA. Paris : G. Crès, 1926. In-16, XXII-200 pp.
" toute la nuit, encore,
je boirai du saké,
sans même prendre la peine de le chauffer !"
("A cause d'un joli geste" ; 19)
"Nous avons eu des nuits pleines d'ombre"
("Madame la lune" ; 32)
"le passé !
le temps où se sont accumulés
les jours lents"
("A la fête de Kamo" ; 39)
"amour de lune et de prunier"
(132)
je boirai du saké,
sans même prendre la peine de le chauffer !"
("A cause d'un joli geste" ; 19)
"Nous avons eu des nuits pleines d'ombre"
("Madame la lune" ; 32)
"le passé !
le temps où se sont accumulés
les jours lents"
("A la fête de Kamo" ; 39)
"amour de lune et de prunier"
(132)
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