Chapitre vingt-deuxième,
Très court,
Où l’on se retrouve
Et dort.
Très court,
Où l’on se retrouve
Et dort.
Lorsqu’il passa la porte de la véranda de la maison de bois, N trouva là, dans la pénombre, sise sur un fauteuil, les pieds étendus sur la table, nue, car il faisait chaud encore malgré l’heure tardive, la jeune fille du train.
« Je vous attendais », fit-elle en souriant.
N s’étira les membres à en toucher le plafond. Il vida ses poches et posa cigarettes et autres sur la table. Il lui dit, répondant au sourire par un soupir :
« Venez donc dormir : nous causerons au matin. »
Ils disparurent à l’étage. Le plancher craquait sous leurs pas.
*
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